La liberté n’est jamais accordée de bon gré par l’oppresseur ; elle doit être exigée par l’opprimé, car les opprimés ne peuvent pas demeurer dans l’oppression à jamais (pour toujours).

Le moment vient (arrive) toujours où ils proclament leur besoin de liberté, et c’est ce qui se produit actuellement pour chaque citoyen camerounais. Le peuple camerounais a rendez-vous avec son histoire à l’élection présidentielle d’octobre 2025 afin de choisir en toute conscience entre, continuer sous le joug de l’oppression et continuer libre.